Tokio Inkarami vs botox capillaire : quel soin choisir pour sublimer vos cheveux ?

Tokio Inkarami vs hair botox

Vous hésitez entre un soin Tokio Inkarami et un botox capillaire ? Ces deux protocoles phares révolutionnent l’entretien des cheveux abîmés, décolorés ou en quête de brillance, mais agissent à des niveaux différents de la fibre capillaire. Que vous soyez à la recherche d’une réparation en profondeur ou d’un coup d’éclat instantané, il est crucial de comprendre leurs mécanismes, avantages et limites pour faire le meilleur choix.

Les bases du Tokyo Inkarami et du botox capillaire

Le botox capillaire est une formule enrichie en acide hyaluronique, kératine et agents lissants. Très populaire en salon, il cible principalement la surface du cheveu pour offrir un gainage immédiat, magnifier la brillance et lisser les frisottis.

Le Tokio Inkarami, originaire du Japon, va plus loin avec une technique de « layering » : plusieurs couches successives de produits pénètrent en profondeur dans la fibre grâce à la combinaison de kératines aux tailles moléculaires variées, d’acides aminés et de céramides. Ce protocole vise à restaurer et renforcer la chevelure de l’intérieur.

  • Botox capillaire : action rapide et cosmétique, idéal pour une amélioration visible immédiate.
  • Tokio Inkarami : action durable et réparatrice, parfait après des traitements chimiques ou thermiques répétés.
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Tokio Inkarami vs hair botoxTokio Inkarami vs hair botox

Comparatif :

Critère Botox capillaire Tokio Inkarami
Principaux actifs Kératine, acide hyaluronique, silicones Kératines multi-dimensionnelles, acides aminés, céramides, fullerènes
Profondeur d’action Superficiel : cuticule et surface Cortex et cuticule, action structurelle
Durée moyenne 2 à 4 semaines 4 à 6 semaines, prolongeable
Temps en salon 40–60 min 30–60 min, selon personnalisation
Cheveux très abîmés Efficace, mais effet rapide et limité Réparation profonde et progressive
Coût indicatif Dès 60–90€, tarif accessible 90–150€ voire plus, selon salon et diagnostic
Personnalisation Protocole classique, rarement adapté Versions S, M, Basic, ajustées à la nature du cheveu

À retenir : Le choix dépend du degré de dommage, du budget, et des objectifs recherchés. Selon une étude de L’Oréal Professionnel, 68% des femmes ayant testé le Tokio constatent une amélioration de la texture et moins de casse durable après six semaines.

Étude de cas pratique : l’expérience de Julie, 34 ans, cheveux décolorés bouclés

Léa, jeune entrepreneuse résidente à Nantes, a enchaîné balayages et lissages, la rendant idéale pour ce comparatif. Elle a accepté de tester les deux soins dans trois salons différents afin d’éclairer les différences réelles.

Déroulement d’un botox capillaire en salon

  • Double shampoing clarifiant pour ouvrir les écailles.
  • Application minutieuse du botox, mèche par mèche.
  • Casque chauffant ou film pour favoriser la pénétration.
  • Séchage léger puis attente d’au moins 24h avant le premier shampooing.

Résultat : Léa a retrouvé un toucher doux et une brillance visible le jour même, mais l’effet spectaculaire a diminué dès le second lavage.

Le protocole Tokio Inkarami : étape par étape

  • Diagnostic personnalisé et choix du protocole (S, M ou Basic).
  • Layering en plusieurs étapes : spray antioxydant, crème kératinée, lotion acides aminés, protection céramide, élixir huileux.
  • Vapeur douce ou chaleur maîtrisée pour activer les ingrédients.
  • Coiffage thermo-activé pour sceller les actifs.
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Résultat : Julie a été surprise par la diminution des frisottis, le rebond de ses boucles et la tonicité retrouvée même trois semaines plus tard. Sa routine à domicile a pu être adaptée à l’entretien des effets Tokio (shampoing doux, soins ciblés).

À noter : Le Tokio ne modifie pas la structure des boucles ou lisse de façon artificielle. Il restaure les ponts de kératine cassés sans effet « lissage permanent ».

Tokio Inkarami vs hair botox

Quel soin privilégier selon la nature du cheveu et l’ouverture à l’entretien

  • Cheveux très abîmés, sensibilisés par la déco ou la chaleur : Préférez un Tokio Inkarami complet pour régénérer la fibre sur plusieurs semaines. Par exemple, Julie, qui revient régulièrement d’une cure Tokio après des mèches, constate moins de casse lors du brossage quotidien.
  • Cheveux ternes, peu fragiles, manquant de brillant : Un botox capillaire est idéal avant un événement ou une réunion marquante.
  • Cheveux bouclés/naturels : Le Tokio permet de retrouver de l’élasticité, un rebond naturel et une définition accrue sans effet plat ni alourdissement.

Entretenir les effets : conseils d’experts et marques recommandées

  • Utilisez un shampoing doux sans sulfates (le sulfate accélère la disparition des actifs) pour préserver l’effet des deux soins.
  • Privilégiez des gammes professionnelles complémentaires adaptées à votre soin : Olaplex pour la réparation intense, Kérastase pour la brillance, Redken pour la protection couleur, etc.
  • Protégez la chevelure des UV, limitez le recours au fer à lisser mais appliquez systématiquement un soin thermo-protecteur avant brushing.
  • Maintenez une routine « maison » entre les rendez-vous pour maximiser la durée des bienfaits.

Donnée utile : À Paris, 57% des salons partenaires interrogés recommandent un entretien professionnel toutes les 6 à 8 semaines pour prolonger l’effet Tokio ou botox.

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Checklist avant le rendez-vous : ce qu’aucun propriétaire de maison ne doit oublier

  1. Demandez la composition exacte utilisée (transparence sur les actifs : kératine d’origine, absence de formol, etc.).
  2. Vérifiez la certification du salon ou la formation du personnel (Tokio Inkarami officiel, L’Oréal Pro).
  3. Comparez les tarifs affichés avec les options d’entretien à domicile proposées.
  4. Privilégiez les salons listés sur les sites officiels ou sur les annuaires de confiance.

Bon à savoir : Un diagnostic capillaire personnalisé est la garantie d’un protocole parfaitement adapté à l’historique de vos cheveux : votre coloration, les pointes abîmées comme les repousses, sont prises en compte.

En résumé :

Le choix du soin idéal n’est jamais figé. Il doit s’adapter à votre histoire capillaire, vos habitudes et vos attentes en termes d’entretien et de budget.

FAQ

Le botox capillaire fragilise-t-il les cheveux ?

Si le protocole est correctement réalisé par un professionnel et adapté à la nature de vos cheveux, le botox n’abîme pas la fibre. Il offre surtout un effet cosmétique rapide. Attention aux surdosages ou aux produits de mauvaise qualité qui pourraient étouffer les cheveux sur la durée.

Combien de temps attendre avant de laver ses cheveux après un soin botox ou Tokio Inkarami ?

Après un botox, un délai de 24 h est souvent recommandé avant le premier shampooing. Après un soin Tokio, il est possible selon les salons de laver le jour même, mais suivre les recommandations de votre coiffeur optimise les résultats.

Peut-on enchaîner un Tokio Inkarami après une décoloration récente ?

Oui, mais il est important de signaler à votre coiffeur l’ensemble de votre historique technique. Un soin Tokio est particulièrement indiqué pour restaurer les fibres après des colorations ou décolorations, à condition de respecter quelques semaines entre chaque prestation pour ne pas surcharger la fibre.

À quelle fréquence renouveler le soin ?

En moyenne, la fréquence recommandée est un soin Tokio toutes les 6 semaines pour un résultat optimal. Le botox, plus superficiel, peut être appliqué toutes les 4 à 5 semaines, selon l’état et la nature du cheveu.

Comment trouver un professionnel fiable ?

Rendez-vous sur les sites officiels des marques agréées ou explorez les annuaires spécialisés comme Petits Soins pour identifier les salons certifiés. Exigez toujours de voir la certification ou la formation validée du coiffeur en charge.